A peine plus de six mois après sa sortie, le dernier bébé de Rockstar se porte bien, caracolant encore en tête des ventes de la PS3 alors qu’il n’est pas le dernier jeu sorti. Loin derrière, la franchise Call of Duty, pourtant immense succès populaire, sait déjà que jamais elle ne pourra rivaliser avec les 20 millions de pièces vendues sur ce seul support. De la même façon que The Last of Us, ce GTA a été autant anticipé (le jeu était rentabilisé avant même sa sortie grâce aux précommandes) qu’encensé. Il fait partie de ces jeux que beaucoup vont acheter, et dont il est très difficile de dire du mal sans risquer sa peau ou sa réputation. Bravant tous les dangers, pourtant, cet article est là pour vous montrer qu’une gloire passée ne peut justifier tous les errements, et que l’ego est souvent mauvais conseiller.
Avertissement : ce dossier a été écrit au moment de la sortie console du jeu l'année dernière. Je suis au courant que sur la version PC, vous êtes richissime dès le début de la partie, ce qui n'était pas le cas à l'époque (et qui est encore plus ridicule, donner de l'argent in game contre une précommande est un non-sens.) D'autre part, cet article détaille certains évènements de la série, et peut par conséquent contenir quelques spoilers.
GTA V n’est pas subversif
Du GTA premier du nom aux diverses variations de GTA III, Rockstar a dû lutter pour sa survie face aux lobbys, aux parents inquiets et à une partie de l’église catholique. Les premiers épisodes de la licence, aussi cyniques que sanglants mais surtout extrêmement réalistes pour l’époque, provoquaient à chaque fois un tollé médiatique, et l’éditeur n’a pas toujours été en position de rire de la controverse qu’il provoquait sans craindre pour son avenir. Les ventes allant croissant, le concept du jeu devenant un genre à part entière, Rockstar a depuis aisément trouvé le moyen d’utiliser ces scandales à son avantage : comme un vecteur de publicité supplémentaire. Après un épisode IV plus politisé sur lequel je reviendrais, GTA V sort donc fin 2013 et occupe massivement le terrain médiatique. Sa réputation le précède : attention, il va y avoir du politiquement incorrect, de la violence et du sexe.
Le problème c’est que depuis GTA III, Rockstar a compris qu’il pouvait essayer de jouer sur deux tableaux pour gagner encore plus d’argent. Pourquoi se mettre forcément tous les parents à dos? Pourquoi forcément entamer une croisade contre l’Amérique et les convenances? Alors qu’on pourrait, par exemple, donner une espèce d’arrière-goût de subversion, sans qu’on puisse mettre vraiment le doigt dessus?
Voilà donc exactement ce que sera GTA V : un jeu qui ne donnera plus de frissons qu’aux enfants, aux extrémistes et à ceux qui n’ont jamais touché une manette. Les scènes de sexe sont la plupart du temps intégralement censurées, et on peine à deviner qu’il se passe vraiment quoi que ce soit si ce n’est pour les gémissements. Les scènes de violence sont lissées au possible, les personnages saignent à peine et les effets ragdoll abusifs rendent l’ensemble cartoonesque. Tous les gamers savent pertinemment qu’il existe une myriade de jeux graphiquement plus choquants et psychologiquement plus perturbants, comme ils savent qu’il existe des FPS de meilleur calibre que les sempiternels Counter Strike.
Ce qui relègue donc ce GTA au rang de jeu casual, destiné à un public cherchant des sensations au rabais et de l’immoralité de cour de récréation. Pour faire peur à maman, pour avoir l’impression d’être de l’autre côté de la ligne jaune, tout en pouvant quand même se coucher sans faire de cauchemars.
GTA V n’est pas subversif, il en a à peine le goût. La “censure” que lui imposaient les limitations techniques de l’époque est maintenant devenue autocensure, imposée par des besoins de rentabilité. Il ne lui reste donc que cette réputation de jeu choquant, qui lui sert pour continuer à vendre à un public de plus en plus jeune.
Et ne me parlez pas de la scène de torture. Mal réalisée, cette scène grotesque et glauque est dénuée de tout contexte ou seconde lecture qui aurait pu lui donner un sens ou une portée. Dans un jeu qui vous donne une liberté totale, et qui vous laisse faire tous vos choix, on vous oblige à torturer un homme, ne choisissant que vos instruments pour ensuite contempler le résultat. En pensant vous choquer peut-être, réveiller des sentiments humanistes en vous. Ou, plus probablement, juste pour faire hurler les journalistes du Guardian.
GTA V n’est pas une critique de la société américaine
Alors maintenant qu’on parle de Rockstar dans Le Monde, autant se donner de grands airs. Chez l’éditeur, on a laissé témoigner tout le monde : doubleurs, techniciens, graphistes… Et tous sont absolument convaincus d’une chose : si on tente à tout prix d’interdire leur jeu à la limite de la légalité et de l’extrême violence insoutenable (sic), c’est avant tout parce qu’il critique sauvagement la société américaine, en montre ses travers et que cela dérange.
Arrêtons-nous une seconde sur ce formidable argument qui voudrait faire passer Sam Houser pour le prochain Nobel.
Cette légitimité dans la violence, le studio la cherche quasiment depuis le départ, mais de façon plus appuyée depuis GTA III (avec les thèmes du racisme et de la corruption) et assez magistralement dans GTA IV (sur les mêmes thèmes, mais aussi ceux de la guerre et de l’immigration). Notez d’ailleurs que si ce quatrième opus n’est pas exempt de défauts, il est à mon sens tout à fait à propos dans la manière dont il véhicule un message et dans l’équilibre entre critique du système et autodérision.
Emportés par leur nouvelle étiquette de philosophes du jeu vidéo, les gars de chez Rockstar se sont alors dit que ce pourrait être une de leurs marques de fabrique. Le problème, c’est que l’histoire de Niko Bellic avait aussi ennuyé pas mal de monde, et qu’on avait trouvé ce GTA IV plus lent, plus froid, moins intense. Comme c’était difficile de parler de la condition des ouvriers Moldaves sans perdre la moitié de son public, l’éditeur a alors choisi la facilité : “On va critiquer l’Amérique!”
Sauf que montrer l’évidence, grossir des traits, singer un système comme de nombreux scénaristes de seconde zone ont pu le faire depuis vingt ans, ce n’est pas une critique de la société. Ça s’appelle un prétexte, au mieux de la récupération. Nous ressortir un gangster noir au grand cœur, un redneck violent et un blanc ripou qui a des problèmes de divorce, puis prétendre que c’est du Zola, c’est prendre les fans pour des demeurés. Il n’y a aucune critique sociétale dans GTA V, à peine un constat évident qui est que dans les pays riches, il y a de la violence, et que c’est dommage.
Tout le reste n’est qu’empilement de clichés resucés qui voudraient se donner des airs. Le Masque le disait d’ailleurs avec intelligence il y a quelques semaines : en arriver à faire fumer du cannabis à son personnage, en faire un élément central d’une chaîne de missions (alors qu’aujourd’hui sa consommation va jusqu’à se légaliser dans certains états), c’est bien la preuve du décalage qu’il y a entre une soi-disant volonté de critiquer et une récupération de tout ce qui peut faire peur aux familles conservatrices du globe.
GTA V, c’est Les Sims avec des flingues
La première chose que vous apprendrez si un jour vous prenez des cours avec un scénariste, c’est la notion de préparation/paiement. Si un épisode de série, ou même un jeu insiste pendant trois minutes sur une tasse de café, que quatre personnages en parlent et qu’elle est constamment dans le champ, il faut que quelque chose se passe avec cette tasse avant la fin. Cela paraît assez logique et presque ridicule, pourtant trop de manquements à cette règle élémentaire peuvent souvent expliquer pourquoi tel ou tel film vous a déplu. Maintenant examinons le parti pris de Rockstar pour son nouveau bébé.
L’idée, c’est de pouvoir faire tout ce que l’on veut. Du manège, du bateau, aller voir des prostituées, taper sur des gens, faire les poubelles, faire du tennis… vous avez saisi comme moi l’étendue du concept.
Vous êtes, comme moi, déjà pas loin de vous dire que c’est surtout une question d’ego, et de démesure, mais peu importe si le jeu est bon, pas vrai? Parce que le fan, il va chercher une quête principale intense, et des side quests palpitantes.
Alors les missions grandiloquentes, vous les avez. Les side quests variées, de plus ou moins bon goût, vous les avez aussi. Ça c’est la préparation. Et… il n’y a pas de paiement. Comme GTA V n’est pas doté d’un système d’expérience ni de leveling, tout passe par l’argent. Votre “niveau”, la force et les compétences de votre personnage ne sont déterminés que par votre compte en banque. Ce qui est assez faussé, puisque pour avoir une progression homogène chez la plupart des joueurs il faut éviter qu’ils roulent en char d’assaut au bout d’une heure de jeu. C’est le principe de l’illusion de liberté indispensable à tout jeu solo scripté.
Que décident alors les développeurs pour vous proposer un contenu gigantesque en évitant que vous soyez trop vite trop puissant? Tout simplement de ne pas vous payer. L’intégralité des missions secondaires ou bonus ne vous rapportent absolument rien, il en va de même pour les nombreuses interactions possibles avec tout un tas de personnages et de lieux. En voulant se prendre pour un RPG moderne, GTA oublie que le joueur ne fait jamais d’actions gratuites, à moins que cela ait une influence sur la suite de l’aventure ou que le dit joueur ait une empathie forte avec son personnage (comme dans Mass Effect par exemple).
Résultat, même les casses principaux (comme le braquage du sous-marin, qui vous demandera énormément de temps et d’efforts in game), ne vous paieront pas. Pas un dollar, pas un objet rare, rien. D’ailleurs vous passerez les vingt premières heures de jeu soit à bidouiller le système boursier pour contourner les limitations d’argent, soit à être constamment à sec, et surtout à vous demander quand le fun va commencer. A savoir : quand est-ce que vous allez arrêter de bosser gratos pour des idiots, et quand vous allez enfin pouvoir goûter un peu à cette sensation de toute puissance et de démesure qui caractérisait si bien la série.
La réponse? Jamais. Pas en accomplissant les missions en tout cas. Alors très vite vous abandonnerez les quêtes secondaires, pour rusher le scénario jusqu'au moment où vous pourrez enfin péter des trucs. Et où on arrêtera de vous bourrer le crâne avec une pseudo morale sur les adolescentes qui font du porno.
GTA V fait passer sa durée de vie artificielle pour des choix artistiques
Tout comme la majorité des Français, vous êtes bilingue. Et Rockstar l’a très bien compris. Sous couvert de prétentions cinématographiques, le studio nous offre 2700 heures de dialogues en VOSTFR, réparties avec soin sur l’intégralité des scènes de conduite. Alors évidemment cela part d’une bonne intention, meubler des moments un peu plus calmes en développant l’histoire et les relations entre les personnages.
Mais même si vous étiez très doués en anglais, entre le bruit ambiant, les accents appuyés, la surabondance de texte explicatif en plus du sous-titrage et la précision nécessaire à certaines cascades, vous auriez du mal à tout suivre.
Et si je me fiche assez de savoir pourquoi Jean Claude ne s’entend pas avec sa voisine, je suis beaucoup plus en colère quand le jeu me fait recommencer depuis le début parce que je n’ai pas réussi à lire le “Tournez à gauche” perdu entre le monologue de mon passager et des parties de didacticiel plus ou moins à propos.
Et on en vient à un problème qui surpasse largement celui de la VOST : le jeu est à la fois horriblement punitif et cruellement arbitraire.
Reparlons de la mission du vol de sous-marin. Parlons du fait que comme Rockstar veut vous montrer qu’il peut tout vous faire faire, vous vous retrouverez à manœuvrer une grue pendant un quart d’heure entier pour déplacer des caisses. Parce que c’est amusant? Non. Parce qu’ils le peuvent. Vous pouvez aussi déplacer des caisses dans GTA, et ça c’est prodigieux. Mais attention, si ivre d’ennui vous avez le moindre accrochage avec votre transpalette, la mission est perdue, et vous n’avez plus qu’à tout recommencer.
Quand ce n’est pas le destin, ce sera la main divine qui viendra vous compliquer la tâche, décidant qu’à tel moment précis, comme par hasard, tel ou tel personnage se retrouvera dépouillé de toutes ses armes, ou bien tel ou tel ennemi vous tombera dessus. Scénaristiquement, on est plus souvent dans la justification des pics de difficulté que dans un principe de cohérence globale.
Mais vraiment, le plus douloureux dans cette histoire, c’est de se retrouver devant un Game Over et de ne pas comprendre pourquoi. Croyez-moi, ça arrive beaucoup. Après tout, le jeu proposant du Bullet time pendant la conduite et une assistance à la visée, il fallait bien trouver un moyen pour qu'on ne puisse pas finir l'histoire en cinq heures avec une seule main.
Le mode online est une insulte à l’intelligence
Quel genre de multi pourrait-on offrir à un jeu comme GTA V? Un concept à la All Points Bulletin, un MMOTPS vous proposant d’incarner la police ou les braqueurs, de préparer des casses en coop ou de les empêcher? “Non, trop complexe, on va perdre les gogos, et ce sont eux qui payent le plus au final.”
Alors après moult bugs, problèmes techniques et instabilités, on a récemment eu le plaisir de se rendre compte que même patché, le multi de GTA V était d’une nullité sans nom. Et c’est amusant parce qu’il est l’exemple parfait de ce que j’essayais de démontrer dans un article précédent, à savoir que si le joueur lambda a le choix entre coopérer pour atteindre un but ou tuer tout le monde, il choisira de ruiner l’expérience collective.
C’est dommage, mais c’est une constante. Rockstar a donc choisi de permettre à ses joueurs de s’entretuer sans que ça n'ait aucune finalité, en se disant que ça demandait moins de travail et qu’ils pourraient toujours proposer un vague mode de course et d’affrontements pour se donner bonne figure.
Et si, c’est grave. Bien entendu que c’est grave. Dans un monde où le multi prend presque systématiquement le pas sur le solo et fait la réputation d’un jeu, il devient également le reflet de ce que le développeur pense du joueur. Le mode solo devient une sorte de director’s cut, une “vision de l’artiste”, et le multi un mode censé plaire au plus grand nombre le plus longtemps possible.
Alors voilà ce que vous aimez. Rouler sur des gens, tirer dessus, surtout sur vos alliés, surtout les moins forts que vous. En boucle. Et ne remerciez pas Rockstar, ils n’en ont rien à foutre.
Cette image vaut mille mots.
Je sais très bien qu’une chronique de ce genre va forcément m’attirer des foudres. Et aussi qu’il est impossible d’être objectif sur un sujet aussi sensible, ma volonté étant essentiellement de m’arc-bouter pour faire contrepoids à la complaisance globale autour de ce titre. Je n’ai jamais dit que Grand Theft Auto V est un mauvais jeu. J’y ai joué une quarantaine d’heures avant de le revendre, lassé il est vrai. Je dis juste que c’est un mauvais GTA, qu’il insulte ses prédécesseurs, l’image et le concept que la série avait auparavant créé. Et que si la foule continue à l’encourager, Sam Houser risque de nous sortir encore un bon nombre de dérivés insipides, bien loin du choc des premières années…
Auteur : Adrien Martel
Rédacteur en ChefAncien correspondant de presse, passionné de musique et de nouvelles technologies, partage son temps libre entre les voyages, le Standalone Post et la Wii U
Commentaires
GTA V est subversif, quand t'as un developeur informatique qui t'explique dans le jeu qui faut sortir des betas d'applications pour pouvoir sortir des mises à jour payantes par la suite c'est subversif.
GTA V est une critique de la société américaine suffir d'écouter michael parlé de sa fille sa femme ou de son fils.
La mission de transport de caisse avec la grue du port ça m'a pris 5 minutes.
Et le mode online, je jous qu'en solo donc je sais pas.
Je comprend pas la démarche de cet article de vouloir flinguer ce jeu honnête ou le gamer est respecté, y a tellement pire aujourd'hui.
Personnellement, j'ai eu beaucoup de mal à assimiler les antagonistes de GTA V. Trop confus, pas assez charismatiques et trop emmêlés avec la vie de nos trois héros (Michael, Franklin et Trevor). GTA IV offrait une linéarité compréhensible avec le félon Dimitri Rascalov et ses ambitions de pouvoir. Dans ce dernier opus, on est confrontés à des types dont on en a rien à foutre. Seul le gang des Lost reste fun à massacrer. Lazlow et les scientologues (The Epsilon Program) font tout de même honneur depuis leur introduction dans l'univers GTA il y a quelques années.
Je suis consterné par l'utilisation obligatoire d'Internet afin de boucler à 100% le jeu. De prime abord les fonctionnalités comme la bourse (BAWSAQ et LCN) et l'entraînement du chien sont optionnelles, mais dès que l'on souhaite compléter GTA V, il est impossible de finir le jeu. L'argent est toujours aussi épuisant à récolter, contrairement à la saga sur PS2, en mode offline. Un élément handicapant pour les joueurs ardus de parachever les missions secondaires et autres collectes d'objets.
Ah et les radios sont de plus en plus inégales, j'avais l'impression d'un retour en arrière avec des programmes bien plus courts. Dommage car le monde ouvert était bien plus attractif.
"Je sais très bien qu’une chronique de ce genre va forcément m’attirer des foudres." -> Pas de ma part en tout cas : c'est tellement rare de trouver quelqu'un qui a le même genre d'opinion que moi sur ce jeu.
Dans mes bras, copain !
Punaise, on est pas seul sur cette planète à avoir une overdose de GTA, et de trouver finalement le hype autour de ce jeu complètement abusée ! J'ai écris une critique également (ici sur le blog d'octopaddle : http://octopaddle.wordpress.com/2013/09/18/gta-v-trop-de-comm-tue-le-pla...), surtout sur la promo quasi pornographique autour du jeu qui m'a poussé à décommander ma préco, chapeau le marketing de Rockstar et les sites web à leurs bottes .... Une fois en main, comme toi : finalement assez déçu, une pseudo critique comme tu la si bien justifié, des effets qui tombent à plat (la scène de torture n'apporte rien et surtout met mal à l'aise devant son incohérence et so côté imposé à la moderne warfare, le joueur est juste bon à être un QTE) ...un jeu qui prend la poussière chez moi désormais.
GTA V est un jeu destiné clairement à un publique de jeune kikous. Quand je joue en ligne j'ai l'impression de jouer à un Mw3 ou bf sur une map grandeur nature.
J'ai grandis avec la serie de jeu gta, depuis son passzge sur ps3 j'ai l'impression que Gta se casse la gueule.
Cet article résume clairement mes pensées sur se jeux. Rockstar nous a vendu du rêve inaxesible.
Il y a quelque chose que je trouve non tolèrable s'est de vouloir assimilé Gta V à Gta San andreas !
Personelement j'aimerais énormèment une re édition de GTA San andreas sur ps3/ps4 uniquement.
Je pense que tu n'as pas saisi mon argument, qui est que critiquer l'évidence, et dire tout haut ce que tout le monde dit déjà tout haut, ce n'est pas subversif. Aux Etats-Unis le mariage gay, l'avortement, l'assurance maladie ou la guerre contre le terrorisme sont des exemples de sujets subversifs, difficiles à aborder, controversés.
Pas les bétas payantes ou les teenagers.
*coeur avec les doigts*
C'est de l'anglais , cheetah veut dire guépard, d'ou la voiture rapide.
Il ne faut surtout pas prendre mes légendes de screenshots au premier degré ;-)
Ouais 'fin perso le "subversif" d'ado dont l'article se plaint qu'il est 'absent du jeu, pas trop fan perso, j'préfère que ça reste un peu plus adulte et au-dessus de la ceinture.
Pour la satire c'est pareille, c'est pas parce qu'elle est évidente que c'en est pas.
Et si en plus derrière on a l'air de se plaindre qu'on nous serve de la bonne VOSTFR au lieu des doublages français complètement à la ramasse qu'on nous sert d'habitude, alors là du coup j'suis un peu content que le jeu t'ait déçu parce que dans le cas contraire ç'aurait été moi.
Je vais te faire plaisir Adrien, j'ai exactement aperçu les mêmes choses que toi, et je dirais même mieux, je suis heureux de lire une critique digne d'une critique cinématographique. Il faudrait développer ce type d'exercice, c'est une bonne manière de revenir à l'esprit critique pour ne pas devenir un tube digestif. GTA V m'a beaucoup amusé, au début, mais les ficelles sont tellement énormes que nous comprenons rapidement que GTA V n'est rien d'autre qu'un produit de marketing. Je suis toujours profondément agacé par les pseudo-critiques de jeu produites par les concepteurs eux-mêmes : trop souvent dans les médias on invite les concepteurs pour émettre des critiques sur leurs métiers comme si l'on pouvait parler d'un jeu vidéo comme d'une oeuvre cinématographique : il est impossible de faire un jeu vidéo immersif à petit budget sauf à revenir trente ans en arrière (il y avait déjà des grosses équipes derrière, mais rien à voir avec les "superproductions" actuelles). Si l'on peut faire un très bon film avec une petite équipe, du talent, beaucoup d'imagination, il est impossible de faire un très bon rpg, mmorpg, etc. sans une grosse équipe et de multiples petites mains (parfois sous-traités en Chine par des employés payés une misère). Beaucoup de jeux ont été créés par des passionnés mais ces jeux sont morts très rapidement ou ont très rapidement dérivé vers un produit commercial. Parfois, ces ouvrages fabriqués par des passionnés ont fait émerger de véritables œuvres d'art - on citera le vieux Rhizome enterré pour des raisons financières, mais nous pourrions parler aussi de Dofus, etc. Bref... on se rend compte que chaque jeu semble suivre le même processus : au départ, une équipe d'artistes et d'informaticiens - souvent jeunes - à qui on laisse une grande liberté de création pour sortir un beau produit, ensuite les spécialistes du marketing analysent ce qui a fonctionné, ensuite les dirigeants (souvent des financiers) via le marketing imposent la stratégie à suivre. Parfois l'existence communiquée d'une "jeune équipe passionnée" est aussi un leurre stratégique pour attirer les aficionados du jeu video.
Pour GTA, nous avons eu ce processus mais avec une forte volonté de trouver une voie commerciale "facile" quasiment dès le départ. Il est vrai que les dialogues peuvent paraître "délirants" et quelque peu "décalés". Dans une scène, le plus dingue d'entre eux alors qu'il a attaché un homme sous les quais demande à un homme bâilloné : "Tu ne trouves pas que c'est une belle allégorie de l'Amérique ?" Nous pourrions être impressionnés par la profondeur du personnage si en réalité les américains n'étaient pas les spécialistes de la "fausse subversivité". Tous les dialogues sont formatés : aux USA il existe des écoles de dialoguiste, aussi ce qui pourrait paraître pour un travail de recherche sur le langage "populaire" américain est en réalité un formatage de série américaine. Hollywood, les télévisions américaines utilisent des milliers de dialoguistes professionnels. Dans les universités américaines, on apprend à écrire ces dialogues, c'est aussi comme ça que l'on transforme un langage populaire parfois subversif - comme le langage "rap" - en produit commercial (produit formaté en musique, série, films, littérature, jeux video, etc.). GTA V est tout sauf subversif, il est un pur produit de la manufacture du consentement. Que dit GTA ? Que tout le monde veut une belle voiture, une belle femme et une belle maison. GTA V ne diffuse rien d'autre que cette idéologie. Un peu de drogue, de sexe, et de rock'n roll pour donner une impression d'être un peu polisson, et voilà le tour de passe passe facile. D'autre part, l'environnement de GTA ne fait que reproduire le monde : rien dans le graphisme ne permet de parler de "création", ni surréaliste, ni réaliste, ni futuriste, rien, juste un peu psychédélique mais ça ne fera rire que quelques ados et encore... même pas sûre. GTA fait juste briller les voitures. Cette fausse subsersivité est plus l'éloge du capitalisme que sa critique. Dans GTA IV, on ressentait un petit malaise "le capitalisme, c'est pas facile", mais en même temps, les concepteurs de GTA agissent comme lorsque les gros labels ont voulu détourner le message politique du rap. Les vrais rebelles ne sont pas dans GTA.
Les vrais rebelles refuseraient la violence du capitalisme et ils le combattraient : aucun personnage ne va jusqu'à combattre ce système, bien au contraire, avec cynisme, ils se mettent au service du FBI, voire de la CIA et s'enrichissent. Et là nous sommes bien dans le formatage quasi-hollywoodien de la série. Il y aurait allégorie s'il y avait symbolisme. Il n'y a aucune symbolique, tout juste le cynisme de la maison de production qui transparaît trop bien à travers la médiocrité d'une narration formatée comme une mauvais série américaine qui peinerait à être originale. Bref, un succès au dépend d'autres jeux à mon avis beaucoup plus créatifs, riches, et intelligents que GTA.
Un pamplhet aussi complet qu'enrichissant, en effet je suis ravi! Tu pousses même ma réflexion encore plus loin, ce qui me ferait presque complexer.... Si tu cherches un espace plus confortable que les commentaires pour t'exprimer, passe me voir.
Tu oublies qu'on a d'excellentes équipes de doublage Francaises (pense à Borderlands) et que je me plains de l'existence du subversif prépubère, pas de son absence.
Mdrr les conneries que j'ai pu lire dans ton article c'est très affligent !!!
En faite le probléme bah quand je joue sur gta 5 bah quand je fais la mission chinois de trevors sa charge beaucoup de heure et ce n es pas fini quand je joue en ligne bah quand quelquin me tue l écran et blanc
J'ai pas joué aux Borderlands. Y'a bien Alan Wake ou les Batman Arkham (en dehors du dernier) qui bénéficient de bons doublages, mais ceux-ci restent un peu trop rares à mon goût, autant rester sur une excellente VO que de risquer le doublage FR dans l'éventualité peu probable qu'on nous serve autre chose que de l'abyssal.
Bof, certaines remarques sont un peu de la mauvaise foi. Déjà concernant le sexe et la violence.
Le sexe me semble assez présent, entre les scènes de sexe dans le scénario ou les missions secondaires, ou encore les strip teaseuses et prostituées. Faire moins censuré reviendrait à mettre des gros plans d'organes génitaux et de pénétration. Je ne vois pas trop l'intérêt d'aller jusqu'à la, et beaucoup de jeux du genre ne vont déjà pas aussi loin que GTA.
La violence ? Franchement la aussi je ne vois pas le problème. On peut mitrailler quelqu'un au hasard dans la rue et le cribler de balles pour qu'il finisse dans une marre de sang, ou rouler plusieurs fois sur un pauvre passant pour laisser une trace de sang plus longue avec ses pneus. Que demander de plus ? Des têtes qui explosent ? Des membres arrachés ? Mouais.
Dire que tout est lissé est donc plutôt exagéré. Et parler "d'immoralité de cours de récréation" est encore plus malhonnête : Écraser des passants, liquider d'une balle dans la tête une prostituée pour récupérer son pognon... Par chez moi c'est déjà assez immoral. Pas original mais bien immoral.
A moins qu'on prenne comme référence des jeux comme rapelay, manhunt ou postal2 (bien qu'ils tirent plus vers le dégueulasse qu'autre chose), je ne crois pas qu'on puisse dire que GTA V soit cucul la praline.
Ensuite concernant l'argent in game... Si on gère correctement le premier braquage (la bijouterie) et qu'on exploite certaines possibilités de Trevor (missions chasseurs de prime et vente d'armes/drogues avec le hangar)... Y'a pas de réel problème d'argent. Certes le "gros lot" arrive à la fin, et il faut gérer la bourse pour atteindre de très grosses sommes, mais comme tu dis ça permet de brider les possibilités par rapport au scénario. Pour ma part je trouve ça bien géré niveau pognon.
Le jeu "punitif et arbitraire" ? Pas plus qu'un autre jeu qui nous fait rager quand on se plante. Ce qui m'a paru mal fichu, c'est la police beaucoup trop agressive, capable de détecter un coup de feu à 2000m en plein désert. A ce niveau ça aurait mérité d'être repensé.
La où je rejoins l'article, c'est sur la fameuse critique de la société américaine, qui en effet ne va pas bien loin. Disons qu'on se contente de voir quelques exemples de bêtises et de superficialités à travers divers personnages secondaires.
si je suis d'accord avec certains poins, ils ne représentent que quelques gouttes dans un océan de fun qu'est ce GTA (et tous les autres avant). Un mauvais article à buzz bourré de mauvaise foi
Figure-toi qu'il existe des gens qui veulent juste écrire un article pour donner leur point de vue et pas forcément "faire le buzz". Si si, ça existe.
Si on se fie aux grands éditeurs (dont j'avais écrit un article suite à une conférence sur le sujet) la localisation (et donc le doublage en VF) ainsi que sa qualité sont question de moyens, et non pas de manque d'équipes compétentes. Ce sont les éditeurs qui décident. Sur des jeux de très grande envergure, les doubleurs sont les mêmes que ceux qui doublent au cinéma. Si on y met le prix, on peut obtenir un doublage Français de qualité. Visiblement RockStar a décidé que nous n'en valion pas la peine.
Je suis désolé que tu n'ai pas saisi mon intention avec cet article, qui était de faire une analyse objective de la série et de son évolution. Je pourrais écrire le même genre d'article sur la série Call of Duty, tout en sachant pertinemment que dans ce cas également, le jeu procure à beaucoup de monde une grosse dose de fun. Il ne s'agit pas ici d'un "test", mais d'un regard sur l'évolution d'une franchise. Sans rancune, donc.
J'ai moi aussi étais très déçu de GTA V.
La map est peut être grande mais la moitié de la map est soit le désert ou la montagne qui prend toute la place.
Le multijoueur est chiant on n'arrête pas de mourir et il n'a environs que des kikou qui a mon avis n'on même pas jouer à le opus précédent sur PS2 (vice city, san andreas et GTA 3 sont pour moi les meilleurs GTA).
Pouvoir contrôler 3 personnage ne change presque rien.
Niveau liberté Gta San andreas avis largement plus de liberté (pouvoir maigrir, grossir, être musclé, changé de coupe de cheuveux...).
La durée de vie était très longue (300 missions en tout je croît).
Bref pour moi depuis Gta IV, Gta est devenue pour moi de plus en plus pourrie.
Ps:mon premier Gta est Vice City.
C'est assez bizarre mais certains points sont assez faux et décrédibilisent l'ensemble:
- on ne manque jamais d'argent dans GTA 5 même au début et puis si on avait des millions dès le début à quoi bon ça veut dire qu'on aurait le paiement avant la préparation ce qui est pas bon
- critiquer le nombre de dialogues et les dialogues in-game parce qu'on ne comprend pas l'anglais c'est de la mauvaise foi totale. Critique plutôt le manque de choix entre vo/vf alors pas les dialogues en eux-même!
- dire que le jeu est parfois punitif est un peu vrai mais il s'agit du gta le plus facile et les check point au sein des missions (une première dans la série principale il me semble) aide beaucoup. On sent la critique facile ici :)
- dire que gta 5 n'est pas subversif c'est un peu fort quand même même s'il n'est pas fin dans sa critique!!
Je suis assez d'accord avec Lestat,
le jeu n'est pas réellement punitif, disons plutôt "linéaire" et donne moins de choix lors des missions que dans les précédants opus. On mange facilement un échec de mission si on ne fait pas ce que le jeu n'avait prévu, mais ce n'est pas "punitif" car il y a désormais des check points durant les missions. Mourir ou échouer nous ramène simplement au dernier checkpoint, checkpoints qui sont suffisamment nombreux pour ne pas avoir à se retaper 10 minutes de missions par exemple.
Et au niveau de l'argent, on s'en fait quand même très vite. Le premier braquage arrive assez vite et rapporte pas mal. Sachant que l'argent dans un premier temps ne sert qu'à acheter des armes et des munitions, on a largement ce qu'il faut.
Pour ma part je trouve ce GTA hautement subversif. Un seul exemple suffira. Merryweather Security l'armée privée dans GTA qui n'est qu'autre que anciennement BlackWater ce groupe paramilitaire privé sévissant a peu près partout dans le monde pour semer le chaos (moyen orient, ukraine etc). Un groupe tellement controversé et ignoble que les médias menteurs français font comme si ça n'existait pas. L'auteur de cet article n'a peut pas assez de culture pour percevoir la subversivité de ce GTA.
Longue critique de mauvaise foi : "Nous ressortir un gangster noir au grand cœur, un redneck violent et un blanc ripou qui a des problèmes de divorce, puis prétendre que c’est du Zola". R* n'a jamais prétendu avoir la plume d'écrivains populaires m'enfin bref j'aurai pu être d'accord avec toi mais à partir du moment où tu établis tes arguments avec un ton si réducteur et partiale ça va être difficile d'avoir l'approbation des autres.
Si GTA V est difficile j'ai hâte de voir ton prochain torchon sur la difficulté de SA et les missions de Zed !
Très mauvaise analyse pour ma part, tu survoles à peine le background du jeu qui aborde énormément de travers de notre société, tel que le racisme commun, le narcissisme profond de la génération Z gavé comme des oies aux TV réalité et aux Call-of. Sans vouloir trop énumérer, il suffit d'allumer la TV ou lire quelques Bleets ou pages sur LifeInvader pour se rendre compte que chaque travers de la société est représenté et tourné en dérision.
Là où je suis d'accord avec toi mais que tu a encore à peine survolé, c'est l'absence de fun. A part les braquages aux phases finales inspirées d'un Fast & Furious et le peu de missions qui nous font vivre un mini Mickeal Bay, il y a très peu de choses amusantes à faire. Le palmarès du pire est la mission du concierge où il faut passer la serpillière, la mission de simulation de manutention que tu a énoncé, les deux heures de ballade sous-marine pour récupérer des déchets nucléaires est aussi un calvaire à faire, ou comment perdre deux heures de sa vie. Le pire reste à charge des joueurs aux tendances achievements whore qui devront faire des choses longues, chiantes et inutiles pour atteindre le fameux 100%. Quand la mission t'oblige à attendre 10 jours sans pouvoir faire d'activités ou pire, courir pendant 30mn dans le désert pour un trophée t'a juste l'impression que R* te trolle, et il trolle à chaque mission secondaire comme si l'objectif était de faire craquer le joueur prit d'assaut par l'ennui et l'absurdité des missions secondaires. C'est ça le gros point noir de cet opus : le fun. R* a laissé tomber cet aspect qui avait séduit son public avec SA et c'est bien dommage.
"Je pense que tu n'as pas saisi mon argument, qui est que critiquer l'évidence, et dire tout haut ce que tout le monde dit déjà tout haut, ce n'est pas subversif. Aux Etats-Unis le mariage gay, l'avortement, l'assurance maladie ou la guerre contre le terrorisme sont des exemples de sujets subversifs, difficiles à aborder, controversés."
Suffit de lire Weazels News pour ça.
T'as vraiment joué au jeu où tu t'es contenté de déverser ton caca ?
Allez, je fais l'effort de te répondre.
Oui, Rockstar s'est bien fait passer pour un grand auteur contemporain par le biais entre autre de ses acteurs, tu aurais pu le lire dans de nombreuses interviews au moment de la sortie consoles. Vu ta fascination pour les matières fécales je doute que nous ayons les mêmes lectures mais je pourrais entre autres te recommander un article du Monde datant de cette époque.
Je survole le background parce qu'il m'a ennuyé. Tu n'as manifestement pas compris le propos de mon article, qui est de mettre en parallèle les prétentions publiques de l'éditeur (via ses déclarations) et le manque de subversivité et de fun du jeu au final, montrant que le studio s'est vautré autant sur l'indécence que sur le fun. Tu n'es pas en train de lire un test, mais une chronique.
Ces remarques ont d'ailleurs été reprises par des chroniqueurs bien plus connus et talentueux que moi, qui mettent en avant l'hypocrisie supplémentaire de sortir une version PC à part, bien plus tard, et l'absurdité de donner de l'argent virtuel en guise de cadeau de préco. Quand on critique la société de consommation, il est assez ridicule de se rabaisser à ces mêmes pratiques.
Pour le reste je te mets 12/20, attention à l'orthographe.
Et bien je partage entièrement la fine analyse que je viens de découvrir car elle condense toutes les critiques que je viens de me formuler, après plusieurs dizaines d'heures de jeu en parfait néophyte, car découvrant totalement cette série et n'ayant aucune idée des volets précédents !
Et le plus pénalisant c'est le manque de fonds et l'absence de dialogues en version française qui affadissent considérablement ce jeu, au demeurant très riche; par ailleurs. Il faudrait aussi aux développeurs, mettre un terme définitif aux nombreux bugs !
J'ai fait un commentaire je l'ai enregistré
puis plus rien il a disparu, comme les voitures achetées dans GTA 5
pourquoi ?
Parce qu'il est passé à la trappe et n'a pas été validé, on s'en excuse ! Merci pour ton retour interéssant, venant d'un néophyte.
1; gta depuis un bout de temps cherches à ce retirer l'image de vroum vroum pan pan et d'avoir un aspect réaliste et oui la réalité n'est pas cool si tu ne le savais pas
2; si tu avais fait autre chose que te plaindre et fait gaffe au détail du jeu t'aurais vu que rockstar chie latéralement sur les états unis
3:le online est un truc primordial dans un open world et tu dois laisser le joueur faire ce qu'il veut avec ses potes et cert ya des troll mais la c'est à toi de trouver des amis sur qui tu peux compter
Après j'ai ici relevé les trois trucs aberrant de tes propos j'ai lus en diagonale et si je peux te donnais un conseil sort de la cour des grands et vas jouer au bac à sable row ou tu auras des missiles nucléaire dans le coffre de la voiture du début et t'inquiètes pas ya pas de multi pour te faire chier
Cher SuperGuide, ton commentaire nous a beaucoup fait rire à la rédaction, mais je vais tout de même tenter de te répondre.
1) Si tu as des sources précises de cette volonté d'éloignement je les prends, sinon ton ressenti sur la question ne vaut pas mieux que le mien, en l'espèce il suffit de voir leur campagne de promo pour se donner une idée de l'image qu'ils veulent toujours donner.
2) Je ne sais pas comment on fait pour chier "latéralement", ça me paraît super compliqué. Et non, Rockstar ne chie pas sur les Etats-Unis, il est même l'un des premiers à leur faire les yeux doux afin d'obtenir des crédits d'impôts comme ceux dont bénéficient par exemple les développeur Anglais. Ils ont aussi largement bénéficié de la réduction de la censure et de la dédiabolisation (encore utopique certes) des jeux vidéos voulue par l'administration Obama.
3) N'est-il pas un peu présomptueux de critiquer le travail d'un chroniqueur quand on avoue avoir à peine lu son article? N'est il pas déplacé de parler de sortir de la cour des grands quand on a l'orthographe et la syntaxe d'un enfant de cinq ans? Je te laisse méditer là dessus.
NB : Saints Row est en effet une excellente série que tu semble mal connaître, car elle dispose bien d'un mode multi et nous y jouons deux soirs par semaine sur notre chaîne Twitch. Merci pour ce petit coup de pub fort bien amené.
@CHARLES GHYS t'es le meilleur mec. Les mots me manquent. Ne lâche rien. On t'adore.
Étant grand fan de la série j'ai joué à TOUT les titres les 2 premiers (gta I et gta london) n'avais que pour but de tuer et détruit ce qui rapportait des points puis les suivants on évoluer la police devenant plus coriace et le scénario plus poussé. À partir de gta iv le joueur a des choix moraux à faire, tuer ou ne pas tuer ? Revanche ou pardon? Dans gta online le meurtre de quelqu'un sans valeur (faire vroum vroum et percuté des mamies) empire notre état psychiatrique et augmenter la valeur de notre mort (donc si tu tue, plus de personnes voudront te tuer). Si rockstar ne cherchais pas à ce décoller cette image pourquoi se faire autant chier ?
Et si tu cherches de la dénonciation des états unis je te conseille de soit regarder la télévision in game de lire les graffiti en ville de regarder la représentation de l'aigle américain avec ses griffes planter dans le monde au pied des tour du fib et de la iaa...
Mais après je suis d'accord avec toi qu'ils ne critique pas la société si le fait que les États-Unis espion et contrôle (en partie) le monde qu'ils ont commis un génocide des peuples déjà présent pour les cloisonner dans de vulgaire enclos que les sect ne devrait pas être toléré que le sex n'est pas le fruit du démon que les pauvres ne se droguent pas tous que la technologie actuel devient de plus en plus débile que les fast-food font de la nourriture de merde (production à la chaîne et mauvais pour la santé)... Alors là oui je suis d'accord avec toi
Je suis moyennement d'accord avec toi, les points ou je suis ok c'est la parti de torture qui m'a énormément déplus cela aurait pu être supprimés et seulement garder la vie de Michael l'augmentation de la durée de vie par les cinématiques sont aussi un mensonge parce-que la moitié des personnes qui ont fait l'histoire les zape (ce n'est pas mon cas) après je suis d'accord avec toi que dans le multi c'est horrible mais cela ne vient pas de rockstar mais de sa communauté. Où je ne suis pas d'accord c'est de dire que le jeu est un sims armé parce-que la personnalisation est un truc très recherché sur gta et on construit pas les maisons (bon après cert choisir la gueule des parents de son perso online n'est pas une bonne idée) ensuite le jeu dénonce clairement la société américaine, flic pourri,racisme, sects, économie dégradé, etc... Pour finir tu as oublié le truc le plus CASSE COUILLE DANS CE JEU C'EST LES TEMPS DE CHARGEMENT QUI METTENT 12000000000 D'ANNÉES A CE FAIRE ALORS QUE T'AS LA CONFIG RECOMMANDÉE ET QUE SELON ROCKSTAR T'ES DANS LE BON
Tu oublies que cette chronique date de la sortie consoles. Et si tu avais lu attentivement mon artcile tu aurais compris que je ne dis pas que GTA V est neutre, je dis qu'il fait de la critique facile, de la critique comme absolument tout le monde en fait, et que de fait se porter devant la presse comme les victimes d'un système qui les censure alors qu'on trouve plus choquant dans certains indies sur Steam est une hypocrisie. Pour moi il y a une bien meilleure critique de la société dans RocketBirds par exemple. Pourtant il n'y a presque pas de sang, c'est un jeu cartoon, avec de la musique rock.
Un bon critique n'a pas besoin de te montrer ce qu'il dénonce avec un gros rond rouge autour. Ca c'est de la posture, de l'apparat. C'est vain et vide de sens. En tout cas c'est mon avis et l'opinion que j'exprime dans ce papier. En tout cas merci de nous avoir donné ton point de vue.
Bonjour,
Je sais que ton article date un peu mais je ne trouve pas ininteressant de rebondir dessus aujourd'hui après trois mois de diffusion sur pc.
Pour ma part j'ai 32 ans et ai pû suivre les opus de la série depuis le début ainsi que les polémiques les accompagnant.
Comme je suis très largement d'accord avec ton article je ne reviendrai pas sur ce que tu as déjà évoqué, mais je tiens à parler de mon experience sur ce jeu.
Je possède le jeu en version boite et uniquement sur PC et suis pour ma part non pas déçu mais choqué par Rockstar et ce pour de nombreuses raisons, que je vais tenter de ressencer sans trop baver de rage....
- une sortie pc annoncée alors que le jeu s'épuise sur console... un peu tardif non ?
- une version boite dont de nombreux exemplaires corrompus ( disques rayés ) ont été vendus ( un message envoyé aux emmerdeurs qui veulent leur boiboite, j'estime pour ma part que dématérialisation = dépocession, jachete un contenu pas un permis de jouer )
- une plateforme de téléchargement saturée en permanance meme plusieurs semaines apres la sortie du jeu ( jai du telecharger les 5go de maj obligatoire malgres la version boite sur 1fichier.com grace a des liens d'utilisateurs mecontents )
- un mode solo inacessible sans connexion ( gta le jeu solo par excellence )
- une vue fps pas fps du tout puique le viseur reste innaccessible
- un mode multijoueurs sans interet et non protegé contre le cheat ce qui parait juste incroyable et est la preuve d'un respect sans nom pour les joueurs (pourquoi faire des missions collaboratives foireuses qd on vous distribue des millions ds la rue ? Que des serveurs acceptent le modding je suis pour mais que d'autres soient protégés pour garantir une duree de vie je suis pour aussi...)
- une impression de déjà vu assez amère, pourquoi ne pas sortir un peu des usa pour changer, plein le cul de me farcir ces decors de soap opera usés... Ca te barbera, tu me dira, pourquoi ? Meme si on reste aux states il me semble qu'il a pas que LA et NYC...
- les missions pouries ou tu arrives et tu tires a tout va si decriées dans le IV sont toujours aussi omnipresentes...
- trois personnages pour ratisser tjs plus large niveau publique ( trois fois plus de chance de s'identifier a un de ces personnages aux antipodes les uns des autres )
- une critique tres febrile et frelatée de notre monde je confirme j'ai été très déçu en grand fan de l'opus precedent...
- une ambiance visuelle generale trop chaleureuse pour un jeu qui se voudrait etre un polar...
- ... et puis merde..
Je sais c'est un peu pèle mèle dsl...
J'ai lu que ce jeu avait généré un milliard de dolars trois jours apres sa sortie console et là tout s'est éclairé. Gta n'est plus. Il est devenu ce rebele de pacotille qui te vend des assurances la semaine et porte un tee shirt a l'effligie du Che le week end. C'est un produit estampillé Revolution et c'est pour cela qu'il marche si bien et bénéficie d'un tel consensus. C'est une image entendue de la révolte qu'on diffuse massivement aux jeunes pour qu'ils ne perdent pas leur temps à élaborer une vrai critique de notre époque. Ce n'est plus un jeu, ca n'a plus rien d'amusant, c'est un logiciel permettant une immersion virtuelle dans un monde dont le realisme n'a pour but que de voir s'exprimer des pulsions de bétise et de violence à la hauteur des frustrations engendrées par notre modèle de société. Dans Gta 5 online tu incarnes l'ecervelé riche et vulgaire que te vendent la télé realité et la star-culture mainstream et c'est pour ca que ca marche si bien chez les ados.
Un belle deception donc, mon premier gta qui fini au placard en dix jours, incroyable qd on connait mon enthousiasme a son egard depuis les premières infos sortient sur le jeu il y a quelques annees deja...
Un signe des temps certainement, à l'heure où le jeu videos a depassé le cinema ds la course au pognon, ses grandes figures se reincarnent en machines de propagande de l'idiocratie. Malgré l'odeur infecte qui se dégage de ce Gta 5 il n'en demeure pas moins emblématique de son temps.
Totoro
@Adrien,
Je comprends ta critique, mais ils vont faire quelle critique sur le systeme actuel ? detruire l'image des societes d'investissement et de l'ultra liberalisme? alors que se sont ces systeme qui permettent a un jeu comme GTA 5 de voir le jour....
Je trouve qu'ils ont plutot bien camoufle leurs critiques sur le systeme actuel pour que ce jeux puisse sortir avec tout le financement et la promo qui va avec.
La scene de torture par exemple..... on dirait que personne n'a compris, pourtant qui se fait torturer par qui ?
Si je reprends une citation d'un general japonnais lors de la 2e guerre mondiale ou il disait un truc du genre "on ne peut pas envahir les U.S.A car derriere chaque fenetre de chaque maison il y a un fusil pour defendre le pays" que en gros les gang assurent une sorte de defense du pays... et dans la scene de torture ce sont des criminels qui torturent un espion et le virent du pays....(dans les annees 20 la prohibition a eu pour but finale d'instaurer une insecuritee pour que les civiles s'achetent tous un fusil, 1933 fin de la prohibition, le gouvernement reprend le controle des rues mais les civiles gardent leurs flingue 1939 debut de la guerre, les japonnais dans les camps FEMA..... les USA avaient reussi leur projet, ils peuvent s'engager sur tout les fronts) et attention on a exactement le meme schema aujourd'hui avec le crack.
Mike c'est un braqueur..... mais dans sa famille c'est pourtant le seul a etre le plus equilibre et le seul a consulte un psychologue, sa fille est une pute qui part faire du porno, se faire pelote dans une tele-realite, son fils se drogue, branle rien de ses journees, et drogue son pere pour se tire avec sa caisse, sa femme le fait cocu avec tous les profs de sport elle va meme frotte son fion devant son mari....et on le traite de fou..... alors que dans l'histoire c'est le seul personnage a qui il reste quelques bonnes valeurs.
Trevor dans le jeu a un moment il est dit que toute sa famille a ete kidnappe dans le passe + la drogue il est devenu completement barge.
Franklin qui illustre le dernier gangsta de l'epoque public enemy....(et oui a cet epoque il y avait des gangsta non blingbling au grand coeur) et grace au media 50 cent snoop dog et Cie cet image est aux oubliettes....
Les mercenaires a la soldes des finances, les agents ripoux.....
Plus le temps va passer plus il va etre difficile de trouve des jeux ou autre film, musique.... qui denoncent le systeme en mettant les 2 pieds dans le plat.
Si tu veux un exemple va sur youtube et tape "Rockin' Squat - France à fric (Grand Journal)" il y a 8 ans, et il a ete interdit de tele pendant 10 ans.
Pour ma part j'aimerais voir un Hitman justicier green peace ou l'agent 47 aurait amasser assez d'argent pour partir tout seul en croisade contre l'elite financiere et aller assassine les rosi******* modernes sur leur yatch de luxe a chypre ou des industriels chinois qui achetent les jeunes filles, trafiquent les organes et polluent les sols pour le profit.....
Mais si la boite de dev qui produit le jeux est rincee par Fidelity Investments par exemple (qui est le plus gros investisseurs de ubisoft) et l'une des plus grosses societe d'investissement dans le monde avec Carlyle group, a mon avis ils vont pas mettre leurs tronche et s'afficher comme les acteurs principaux de la destruction des consciences.
Puis pour finir dans GTA 5 on voit bien le schema qu'est-ce qui rapporte le plus en fin de compte dans le jeu? les braquages, le travail honnete comme la depanneuse, posseder une entreprise, les trafiques d'armes ou les placements ? surtout avec les plan de Lester.....
Soyez indulgent pour l'orthographe j'ai un clavier US et pas d'accent
Je trouve que ce jeux critique bien le monde dans le quel on vit, faut avoir l'oeil
Salut Gazou
Une chronique c'est bien évidemment subjectif, c'est une question de point de vue. Si je défends fermement mes positions, j'ai lu avec grand intérêt ton opinion très documenté sur le sujet. Difficile de te donner tort sur toute la ligne, cependant on pourrait alimenter le débat avec deux questions :
- Quand j'étais collégien, notre prof de Français pouvait prendre n'importe quel texte de n'importe quel auteur héroïnomane et nous y trouver les messages les plus perchés. Si ce que tu dis à un sens, je ne sais pas si on peut être sûr que la manière dont tu vois les messages du jeu est bien celle voulue par les développeurs, et non pas juste ton intérpretation en tant que joueur.
- GTA tape quand même fort (en apparence) sur le système financier et le capitalisme, cela ne reste-t-il pas très hypocrite quand on sort le jeu sur PC bien après la console pour refaire tourner la machine à fric, en proposant des modes inédits? En cela pour moi l'apparente rebellion de l'éditeur est vaine.
Merci pour ta participation en tout cas.
Carte beaucoup trop petite, foutage de gueule. Un partis pris incohérent... Déjà que nous tournons en rond sur notre petit caillou, il faut maintenant qu'on se tape des map ridiculement petites en virtuel... fait le tour de la map en quelques minutes à peine... minable, vol évident... si le prochain volet est aussi petit niveau map, je ne l’achèterai pas et je romprais ainsi avec mon habitude d'acheter systématiquement ce jeu... au MINIMUM la map que j'aurais rêver de découvrir en lançant mon jeu pour la première fois http://www.davmi.com/wp-content/uploads/2014/09/GTA-San-Andreas.jpg
Je viens après le feu mais intéressante critique subjective sur le jeu (mais la subjectivité devrait être obligatoire dès que l'on traite d’œuvres video-ludiques, donc bravo pour ta démarche). Il y a cette expérience joueur qui dépasse largement le cadre du jeu et nous met face à nos ressentis... Apparemment le dégoût est la finalité de ton xp sur le jeu, perso j'ai joué au premier sur Atari STE que bien peu de personnes de moins de trente ans connaissent, donc quand tu parles d'insulte aux précédents, je ne sais pas si tu mets ce jeu sur la table.
Car je te promets, que ce GTA V a parfaitement rempli son rôle de fils spirituel. ^^
Ce jeu (pour ma part) n'est pas une critique de la société américaine mais plutôt une critique sur les joueurs eux mêmes, leurs fantasmes.
"Nous ressortir un gangster noir au grand cœur, un redneck violent et un blanc ripou qui a des problèmes de divorce"
Ces trois caricatures correspondent toutes à des profils de joueurs : le mec avec une nana et un gosse qui a du mal à trouver un idéal, le mec un peu barré qui critique le système tout en profitant de ce qui lui apporte et le jeune qui vit chez ses parents et qui attend que le bonheur frappe à la porte.
autre exemple avec le online :
"...à savoir que si le joueur lambda a le choix entre coopérer pour atteindre un but ou tuer tout le monde, il choisira de ruiner l’expérience collective."
Je pense sincèrement que ce jeu correspond bien plus à l'air du temps qu'il ne le fait paraitre à première vue.
Le tout permis dans un jeu traitant du monde contemporain (bien loin d'un Skyrim par exemple) engendre beaucoup de sensations et de réactions qui dépassent le cadre du jeu, et le dégout a toute sa place aussi... ^^
En tout cas, dès que l'on commence un GTA, on ne l'oublie pas.
Mais la question qui demeure est : pourquoi avoir attendu 40 heures avant de lâcher la manette, qu'attendais-tu ? :)
Aaaaah, merci enfin quelqu'un qui soulève peut-être le point plus important ici. Ce n'est pas parce que l'auteur n'y voit aucune subversion qu'elle n'y est pas ! Il dit lui-même ne pas comprendre l'anglais, comment peut-il prétendre comprendre toute la subtilité de l'oeuvre ?
La subversion se trouve dans le moindre dialogue, la moindre interaction avec des passants, noms de marques etc..
La séquence de torture, en soi, n'apporte peut-être rien, mais encore fallait-il s'intéresser au dialogue qui suit entre Trévor et le torturé... Mais ça demande une compréhension importante de l'anglais et de la culture anglo-saxonne, que tous les sous-titres du monde ne peuvent apporter.
@Wozniak je suis bilingue, en fait. Dans la chronique je parle pour le commun des joueurs, qui n'ont pas tous cette chance. Globalement, les réactions à cette chronique sont assez troublantes, vous êtes pour beaucoup persuadés d'avoir saisi des subtilités et concepts que moi, ignare, je n'aurais même pas effleuré.
Réveillez vous, c'est GTA V, pas un essai d'Elémir Bourges. On a tous vu la même chose, on est simplement pas d'accord.
@Jackie Chun j'ai mis 40 heures à lâcher la manette parce que, comme je le dis dans ma chronique, ce n'est pas un mauvais jeu.
Je ne suis pas du tout d'accord avec vous au niveau des doublages, mais également sur de nombreux autres points, je pense que ce jeu n'est tout simplement pas possible a doubler, on ne peut pas retranscrire en français la diversité des accents qui est pour moi une part importante de la beauté du jeu, cela ne tient qu'à moi, mais doubler un tel jeu serait un énorme gâchis, néanmoins peut être certaines conversations dans la rue auraient du être sous titrés lorsque l'on passe a proximité.
Pour une fois qu'une grosse boîte nous propose autre chose qu'un jeu en pack, certes il n'est pas parfait, oui il ne vaut peut être pas San Andreas niveau contenu ou gta 4 pour l'histoire, mais il est agréable et fun.
Énorme déception ne parait pas exagéré mais juste complétement a coté de la plaque.
Sur ce bonne journée a vous tous.
Moi j'ai adoré gta 5 pour la simple et bonne raison que c'est se que j’attendais d'un gta qui soi caricatural au possible que sa soi l’ambiance ou les personnages faut pas oublier que sa reste un jeux et un jeux c'est fait avant tout pour s'amuser puis je pence que le coté subjectif ou non du jeux est une question d’époque et de génération , la violence aujourd’hui choque moins les jeunes bref enfin c'est mon avis pour tout dire gta 4 m'avait ennuyé car très contradictoire avec une ambiance et un personnage presque réel mais qui d'un coté pouvait tuer ou écraser des personne a bon escient comme dans tout les autres opus donc bon . Par contre le mode multi de gta 5 et a chier et je pèse mes mots a par sa l'article est bon et bien écrit cordialement .
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